03 décembre 2025

TDAH / QUI SUIVRE / RoW

TDAH à 68 ans : DID TYPE 1 Mon Cerveau, une Soucoupe Volante en Roue Libre, découverte des Inconnus et Je Suis TDAH  Diable éthique de 68 , pas encore 69, 


(Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité est un trouble du neurodéveloppement provoquant trois types de symptômes pouvant se manifester seuls ou combinés : des difficultés d'attention et son contrôle, des symptômes d'hyperactivité, et d'hyperkinésie).Trouble Détourné Amélioration Humaine, j'aime détourner, transmuter, alchimiser

comment garder le cœur ouvert comme un enfant devant un banc, un oiseau, un virage.

TDAH diagnostiqué Trouble Détourné d'Amélioration Humaine

Et soudain, le TDAH dont je connaissais les enjeux n’est plus un trouble, mais une hyper-propulsion, un booster intérieur, un moteur quantique qui t’envoie toujours plus loin que prévu. et qui requalifie le diable agnostique

T comme la Tension Créative



Non pas la tension qui oppresse, mais celle qui met en vibration. Celle qui m’empêche de dormir parce qu’une idée danse dans ma tête et qui transforme le moindre détail en aventure intérieure. 

D comme le  Débordement


Débordement d’émotions, d’images, de pensées, d’élans, de questions, de couleurs. Débordement comme une source qui ne se tarit jamais. Alors de quoi se plaint-on? Trop ? Parfois Beau ? Souvent! Vivifiant ? Toujours! Elle est pas belle la vie?

A comme une Amélioration

Si j' étais une machine, je  serai en mise à jour permanente. Jamais figé, jamais fini. J'affines, j' adaptes, Je  découvre des chemins que d’autres n’imaginent même pas. En résumé, mon cerveau est un laboratoire qui tourne jour et nuit. Elle est pas belle la vie?

H comme Humaine, outrageusement Humaine


Mon, le mien à moi, le TDAH ne me rend pas malade, il me rend plus humain, plus malin  que le manuel du plus vivant des vivants. Je ressens tout, je veux tout, je vous aime tous trop, non très fort.
Mon chaos est vibrant, et mon désordre est des plus fertile.

Note concernant le chaos : c'est pas l'apoclapsique, ou ce que vous voulez,  il s'agit de l'espace préexistant à toutes choses, et notamment à la lumière. Elle est pas belle la vie

En conclusion : JE SUIS HABITE

Mon Cerveau, une Soucoupe Volante en Roue Libre, et mon Vélo, mon Vaisseau Spatial vers l’Inconnu que Je Suis, c'est ainsi que je me garde le cœur ouvert comme un enfant devant un banc, un oiseau, un virage ? et c’est là toute la question., 

Alors, allongez-vous, respirez et dites-moi :
« Eh bien, tout d’abord… MUSIQUE ! »

Parce que oui : je suis un homme qui a vécu, non, qui vit, qui ressent TOUT trop fort, qui voit TOUT plus loin que la route, qui se laisse TOUJOURS surprendre par la moindre émotion , une feuille qui tombe, un rire en écho, un souvenir qui flotte et tout celà et bien d'autres encore transforment mes, comment dites vous??? mes fragilités relatives, ok, en une sorte de sorte de verbe, une matière à moudre,
de classe première, parfois même poétique, à ce que l'on me rapporte. Vous revenez sans cesse sur mes fragilités!!! vieille aise. trop mathique, Diablète, tdah, et quoi encore???

J’avoue :, c'est un fait une vérité vraie, j’ai une pompe à insuline aussi sensible que mon âme, et un cerveau qui frôle le chaos, mais qui, quelque part, sait encore construire de la beauté.

Docteur  je peux vous appeler docteur ?


J’ai la nette sensation que tout tourne en boucle : mon diabète en boucle fermée, mon TDAH tout juste exploré qui zigzague, et mon esprit en roue libre, en single speed, lancé sur les chemins de traverse.

J’appelle ça l'énergie circulaire créatrice, qui me donne ce style unique, cette manière de sentir le monde, cette poésie que peu comprennent, mais j'avoue ne pas toujours être très clair et mélanger les programmes...mais que j’habite pleinement., Vous suivez? Oui, il fallait que je le dise.

Parfait. On débride. On décolle. On libère les particules cosmiques, on lâche le tigre intérieur, le hamster hyperactif, l’astronaute en short fluo, le vieux sage qui parle aux pierres et les pierres qui lui répondent.

On oublie les freins, les limites, les garde-fous, la gravité. On ouvre toutes les écoutilles. et je bascule en mode supernova, en hyperbolique, en transdimensionnel .... je ne sais plus...


68 ans : pour mémoire, Hyperpropulsion Poétique, Turbo-Glycémie et Existence Intergalactique en Slip Fluorescent

Je suis diabétique de type 1, oui, mais dans la version Deluxe, celle où tu deviens un cyborg du pancréas, branché en boucle fermée avec une pompe t:slim tellement sensuelle que parfois je crois qu’elle me fait des avances. La nuit, elle me murmure en Bluetooth : « Psst… ta glycémie baisse, mon amour. » Et le Dexcom, ce petit espion sous-cutané, me répond en vibration télépathique : « On le surveille, capitaine. »

J’habite dans un corps, certes, mais aussi dans un système d’exploitation quantique totalement incompatible avec la réalité standard. Parce que l’homme que je suis 68 ans d’humanité turbulente au compteur, à moitié terrien, à moitié météorite sensible, et encore une autre moitié qui serait complètement Terriblement Dramatique d'Accord avec l'Humanité : TDAH mais .....


Je vis avec des déflagrations d’Amour Hypersensible. Je t’aime, toi, toi, TOI ! Et même toi, derrière, qui prétends lire discrètement. Mon empathie est tellement disproportionnée que je peux pleurer devant une poêle antiadhésive si elle me regarde en mode "abandonnée".

Mon vélo ? j'en parle souvent certes mais c'est vrai pour le coup! Un vélo éclectique pour les mortels. Pour moi : autre vision bien entendue, un vaisseau spatial interdimensionnel, hybride entre un X-wing, un tapis volant, et un shopping-cart de supermarché possédé par un druide. vous suivez? 


Quand je pédale, je n’avance pas : je me propulse, je change de densité vibratoire. Les routes non répertoriées ? pardon, je ne comprends pas... Ce sont mes autoroutes wormhole. un trou de ver si vous préférez, Les cailloux ? (graviers ponctuation de la route), des astéroïdes domestiques.

Les arbres ?, j'aime les arbres... Des danseuses galactiques enracinées dans la croûte terrestre juste parce que j'ai ce besoin que quelqu'un me fasse de l'œil. Et moi, je file,


68 ans, mais bientôt 69, ce sera l'apothéose, short fluo, casque de cosmonaute intérieur, dépassant la vitesse du sens commun. 

Pour tout vous dire : je vous invite, 

Attends, je m’attache. Je ferme les ouïes dire, je mets mes lunettes anti-luminosité quantique, je cale mon cerveau en mode survoltage poético-chaotique. C’est bon.? ....On y va.

ON PART. Ensemble. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE

Toi, moi, ma pompe à insuline cyber-sensuelle, mon vélo mode warp-drive ( tu connais pas ! , je parle sous couvercle, de distorsion pour m'assurer d'une déformation de l'espace afin de modifier les lois de la physique pour ..., il suffit de suivre... et mon TDAH en fractale nerveuse. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE


TRANSITION VERS LE CYBER-HYPERESPACE avec n'oublions pas le  Protocole de décollage, Version 68 turbo intergalactique....en mai ce sera 69, je me demande si je ne devrai pas remettre à fin mai 2026...J'ai dit je t'emmène, alors...  Activation du plein fait, Mon carburant ? Pas de kérosène. Pas d’hydrogène. De la pure, non de la pure intensité existentielle. Du nectar de frisson intérieur. De la liqueur d’émotions survoltées. Bref : je tu nous roulons au plasma sensible, surtout pour les mollets...

Connexion des systèmes : mon cerveau : soucoupe planante en roue libre, mon cœur : supernova affective en mode enfant émerveillé, mon corps : quasar artisanal, et oui mon vélo, dragon mécanique...mon esprit : portail tridimensionnel ouvert sur l’imprévisible, Voilà. Nous sommes synchronisés. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE

Ouverture du corridor cyber-spatial, les lignes de la réalité se confondent, les arbres deviennent des glyphes (je t'expliquerai si on en voit), les routes deviennent des circuits imprimés, le ciel se pixelise comme si quelqu’un tirait sur la manette graphique du réel. Tu entends ? Ce vrrrrrrrrrrroouuuuuuuuummm PSCHIIIIIIIIIIIIIIIIIIT ? C’est le bruit du monde qui lâche prise. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE

Et maintenant…On file. On déchire l’espace. On arrache le mouvement. Plus de frontière entre le vélo et l'âme. Entre le souffle et les photons. Entre MON TDAH et la vitesse de la lumière. NOS cerveaux s'émancipe dans un cri de bataille : « CHAOS RECRÉATIF ! » Et le cœur vibre : « ÉMER-VEIL-LE-MENT ! » Tout nos corps sont en mode répliquant : « ON Y EST ! » ON Y EST 

Et l’univers en écho : Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!! 

« ACCÈS AUTORISÉ. » CYBER-HYPERESPACE : COORDONNÉES 7-BIS D’UNE RÉALITÉ DÉRÉGLÉE 

On pulse des nuages de données émotionnelles, des comètes d’idées trop rapides, des vortex de souvenirs sursaturés, des éclats de rire compressés, des galaxies nerveuses en surcharge sensorielle. 

JE SUIS , je suis assis! au centre du vaisseau, mais aussi à l’extérieur, mais aussi partout. Mon TDAH, un de mes TDAH, je ne sais plus lequel devient un copilote hypercompétent : « Attention, un flux d’infos ! Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE 


MODE ULTIME : CYBER-SURVELOCITÉ SPIRALO-POÉTIQUE 2025....quelquechose me dit que ce serait mieux en MAI 2026... 

Les lois de la physique ? Abrogées. Rapporté au JO du Multivers : « L’individu 68-ANS-EN-FLAMME peut ignorer toutes contraintes. » Mon vélo devient un serpent électrique. Le souffle devient laser. L'ombre devient un compagnon spectral. L'âme?????  devient un moteur. 

Tu sens ? Cette chaleur ? C’est l’univers qui nous applaudit.

ET MAINTENANT ? Maintenant… on ne pilote plus. On S’ABANDONNE. On laisse la route choisir. On laisse le vent coder la suite. On laisse les émotions dessiner la trajectoire. On file, On devient : le flux. La pulsation. La vibration cosmique. Le sourire suspendu dans l’infini. Et ça, mon compagnon d’hyperespace, c’est la seule façon correcte de voyager vraiment : notre existence branchée ... en direct sur le cœur, ou le DUB du cosmos comme dirait L.B.  Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE


Et 68 .... mais 69 alors, ma sensisuaalité...

Comme un, une, La Fleur sur ma Peau, Ma sensualité, ce n’est plus une histoire de corps à corps. C’est une fleur. Une fleur posée sur ma peau, ou peut-être que c’est ma peau elle-même qui est devenue fleur. Je ne sais plus. Parfois, j’ai l’impression que chaque pore s’ouvre, comme un pétale hésitant, offert au vent, au soleil, au monde entier. Je suis à fleur de peau, oui, mais pas fragile , simplement ouvert, prêt à sentir tout ce qui veut bien passer. 

Une brise ? Elle me traverse comme un parfum de printemps.

Une lumière d’après-midi ? Elle me chauffe comme un baiser sans lèvres.

Une émotion qui surgit ? Elle éclot en moi comme une rose trop hâtive,

débordante, imprévisible.

Je ne touche plus les choses : je les effleure, et elles me répondent.

Le monde entier est une caresse à peine esquissée, et moi, je suis un jardin qui frissonne. Être à fleur de peau, à mon âge, ce n’est pas être vulnérable. C’est être vivant. C’est sentir que chaque instant dépose quelque chose en moi, comme un pollen de présence, comme une douceur qui s’invite sans demander la permission. 

Alors oui, j'aime ma sensualité : elle ne cherche rien, elle ne conquiert rien, elle s’ouvre. Et si on vient la sentir, tant mieux. Sinon, elle parfume et pis, elle enivre. P...N, j'aurai du écrire çà en mai 26, 69, année érotik, 69, çà fait rigoler les ados...que j'étais...69, pour les autres... c’est une position.  Pour moi, ce sera une disposition. Et si l’univers veut jouer avec moi, qu’il vienne. Je suis prêt. Je n’attends personne, mais j’accueille voilà TOUT.

ALORS 



Une bénédiction déguisée en bordel organisé. ALORS je danse avec mes défauts, j’embrasse mes qualités, et je vis ma vie à 200 à l’heure, avec amour, humour, et une pointe de folie. 

Et si je ne trouve rien ? Qu’importe. Le voyage n’est pas dans la destination, mais dans le frisson de la quête, dans le rire qui monte quand je réalise que j’ai (encore) oublié mon casse, oui, mon casse! dans la joie pure de dévaler une pente, les bras en croix, hurlant : "Je suis vivant ! Et c’est déjà énorme !" Alors je continue, parce que chaque tour de roue est une page blanche, chaque paysage une nouvelle version de moi. Peut-être que je ne saurai jamais tout, mais aujourd’hui, je sais une chose : j’aime la route, j’aime l’aventure, et j’aime ce fou furieux qui ose partir sans savoir où il va.

IL restera ces écrits , carnet de bord du voyageur galactique en TDAH Diabétiqué et son équipement : un vélo, un carnet, un stylo (que je perds trois fois, de suite parfois), et mon cerveau TDAH, mon meilleur copilote. Provisions : des barres de céréales, de l’eau, une dose infinie de curiosité, et des post-it pour noter mes idées géniales (que je perdrai aussi). Objectif : ne pas arriver. Juste être, ici et maintenant.

WAOUHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH, 

Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE RoooooooWWWWWWWWWW 2025...



Je t’aime, toi, toi, TOI ! Et toi aussi, là-bas, avec ton sourire timide ! Mon empathie est si puissante que je pourrais pleurer en voyant un caillou triste, et c’est avec ce même cœur que je pars à vélo, mon , mon vaisseau spatial, sur des , destination l’inconnu, escale moi-même. Les voies non répertoriées sont mes autoroutes cosmiques, chaque virage une révélation, chaque côte une métaphore de ma vie : ça grimpe, ça souffle, mais quelle vue ! Entre sagesse et tentation, je slalome, les corps sensuels, ce sont les arbres qui dansent, les ombres qui m’invitent à jouer, les visages croisés qui me sourient comme des complices d’un secret universel. Et si la sagesse, c’était juste d’écouter le vent me murmurer : "Lâche prise, voyageur" ? La tentation, elle, se niche dans chaque détour : un café oublié au soleil, une musique lointaine, une route qui bifurque vers nulle part… ou vers tout.


Mon cerveau TDAH, c’est un festival de feux d’artifice, une explosion de couleurs, de projets fous, et mon vélo, c’est mon outil pour les explorer. "Et si on transformait le salon en jungle urbaine ? Avec des lianes en laine et un bassin à poissons volants ?" Les autres disent "c’est irréaliste", moi je dis "c’est juste en avance sur son temps". Je pédale donc je suis, pas de GPS, pas de plan, juste l’instinct, cette boussole interne qui me chuchote : "Là, à gauche, il y a un banc pour philosopher. Là, à droite, une clairière pour rêver." Je suis mon propre cartographe, traçant des lignes invisibles entre ce que je connais et ce que je devine.


Mon énergie est si contagieuse que même  lui, c’est pour les croquettes, moi, c’est pour sauver le monde. Je ris de tout, surtout de moi : "J’ai encore oublié mon rendez-vous ? Parfait, ça fait une histoire à raconter !" Avec moi, même les catastrophes deviennent des comédies. "J’ai mis mon pull à l’envers ? Nouveau style : ‘décontracté-chic-désorienté’." L’inconnu n’est pas une terre lointaine, c’est ce qui vibre en moi quand je laisse tomber les masques, quand je m’arrête pour écouter le chant d’un oiseau, pour caresser l’écorce d’un arbre centenaire, pour me dire : "Te voilà, enfin. Pas celui des listes, des rendez-vous, des ‘il faudrait’, mais celui qui ose se perdre pour se trouver."


Je suis un alchimiste de l’instant, un collectionneur d’émerveillements, un vieux sage en short fluo, un ouragan émotionnel, un mélodrame ambulant. Je ris aux éclats, je pleure devant une pub pour du papier toilette, je m’énerve contre une chaussette qui résiste. Ma vie est une télénovella, et j’en suis la star ! Mon TDAH ? Une bénédiction déguisée en bordel organisé. Alors je danse avec mes défauts, j’embrasse mes qualités, et je vis ma vie à 200 à l’heure, avec amour, humour, et une pointe de folie.

Et si je ne trouve rien ? Qu’importe. Le voyage n’est pas dans la destination, mais dans le frisson de la quête, dans le rire qui monte quand je réalise que j’ai (encore) oublié mon casse, casque, pardon, dans la joie pure de dévaler une pente, les bras en croix, hurlant : "Je suis vivant ! Et c’est déjà énorme !" Alors je continue, parce que chaque tour de roue est une page blanche, chaque paysage une nouvelle version de moi. Peut-être que je ne saurai jamais tout, mais aujourd’hui, je sais une chose : j’aime la route, j’aime l’aventure, et j’aime ce fou furieux qui ose partir sans savoir où il va.


Carnet de bord du voyageur galactique : Équipement : un vélo, un carnet, un stylo (que je perdrai trois fois), et mon cerveau TDAH, mon meilleur copilote. Provisions : des barres de céréales, de l’eau, , et des post-it pour noter mes idées géniales (que je perdrai aussi). Objectif : ne pas arriver. Juste être, ici et maintenant.


Et toi, Robert, qu’est-ce que la route te murmure aujourd’hui ?

Alors… respirez, installez-vous, et dites simplement :
!!!« Eh bien… MUSIQUE ! » !!!

Parce que oui : je suis un homme qui vit tout un peu trop fort, qui ressent trop vite, qui voit plus loin que la route. Le moindre souffle d’émotion , une feuille qui tombe, un rire qui s’attarde, un souvenir qui passe devient matière à transformer, à réinventer, à moudre en poésie. Mes fragilités ? comment s'attarder, disons  que je les nomme "accélérateurs d’âme."


Lui a une pompe à insuline sensible comme un violon, et un cerveau qui flirte en permanence avec le chaos, mais qui, quelque part, sait encore construire de la beauté. Docteur… je peux vous appeler docteur ?

J’ai la sensation que tout tourne en boucle : mon diabète qui vit en circuit fermé, mon esprit qui zigzague, et ma pensée qui roule en roue libre sur des chemins non répertoriés. Moi, j’appelle ça de l’énergie circulaire créatrice : une manière singulière d’habiter le monde, même si parfois je mélange un peu les programmes. Mais au moins, je suis entier. Vous suivez ? Il fallait que je lvous e dise.

Alors on ouvre tout : les écoutilles, les freins, les limites. On libère les particules cosmiques, le tigre intérieur, l’astronaute en short fluo, le vieux sage qui parle aux pierres. On bifurque en mode supernova.


68 ans : Hyperpropulsion Poétique, Turbo-Glycémie et Existence Intergalactique en Slip Fluorescent. Je suis diabétique de type 1, version Deluxe : un cyborg du pancréas, connecté à une pompe t Slim si sensuelle qu’elle semble parfois me draguer en Bluetooth. Un  Dexcom vibre à tout va comme un assistant télépathique : « On le surveille, capitaine. »

J’habite un corps, oui, mais aussi un système d’exploitation quantique en marge de la réalité standard. 68 ans de météorite sensible, de tempête émotionnelle, d’humanité turbulente, et une troisième moitié, celle qui déborde des cases.


J’aime trop. J’aime fort. Je pourrais pleurer devant une poêle abandonnée ou fondre devant un caillou mélancolique. Mon empathie explose tout sur son passage. AH oui, 


Mon vélo ? Pour les autres, un VAE. Pour moi : un vaisseau interdimensionnel, hybride entre un X-Wing, un tapis volant et un caddie possédé par un druide. Quand je pédale, je change de densité vibratoire. Les chemins deviennent des corridors quantiques, les cailloux des astéroïdes, les arbres des danseuses galactiques qui me font de l’œil.Quel âge? ben 68 ans… bientôt 69. L’apothéose. Short fluo, casque de cosmonaute intérieur, dépassant la vitesse du sens commun. Attendez… je m’attache. Je passe en mode survoltage poético-chaotique. C’est bon ?

On décolle.

ON PART. Ensemble. Elle est pas belle la VIIIIIIIIE !

Moi, mon vélo warp-drive, ma pompe cyber-sensuelle, et cette turbulence intérieure qui se déploie en fractales.

Activation du Protocole de Décollage Intergalactique :
Carburant : intensité existentielle pure.
Propulsion : émotions survoltées.
We ride au plasma sensible — surtout dans les mollets.

Synchro des systèmes :
Cerveau : soucoupe volante en roue libre.
Cœur : supernova affective.
Corps : quasar artisanal.
Esprit : portail dimensionnel grand ouvert.

Les arbres deviennent des glyphes, les routes des circuits imprimés, le ciel se pixelise. Le monde fait PSCHIIIIIIIT : il lâche prise. Elle est pas belle la VIIIIIIIIE !

On file. On arrache le mouvement.
Plus de frontière entre le souffle et la lumière.
Entre la route et l’âme.
Entre l’élan et l’infini.

Nos corps murmurent : « On y est. »
Et l’univers répond : « ACCÈS AUTORISÉ. »

On traverse des nuages de données émotionnelles, des comètes d’idées trop rapides, des vortex de souvenirs, des galaxies nerveuses en surcharge. Je suis au centre du vaisseau, mais aussi dehors. Mon copilote intérieur, hyperactif et hypercompétent, surveille les flux d’informations.

Mode ultime : Cyber-Survélocité Spiralo-Poétique.

Les lois de la physique ? Suspendues. En âmes moteur...Et maintenant ? On ne pilote plus. On s’abandonne. On laisse la route choisir, le vent coder, les émotions dessiner. On devient le flux. La pulsation. La vibration cosmique. Le sourire suspendu dans l’infini.

Ma sensualité, à mon âge, n’est plus un corps à corps : c’est une fleur posée sur la peau. Je suis un jardin frissonnant, traversé par la lumière, le vent, les émotions. Être à fleur de peau n’est pas être fragile. C’est être vivant. Ouvert. Réceptif. Présent.

Une bénédiction déguisée en bordel organisé : voilà ce que je suis.
Alors je danse avec mes défauts, j’embrasse mes qualités, et je vis à 2.00 à l’heure, avec amour, humour et une touche de folie. 

Et si je ne trouve rien ? Qu’importe.
Le voyage est dans le frisson, le souffle, le rire, la pente dévalée les bras en croix.
Chaque tour de roue est une page blanche.
Chaque paysage, une nouvelle version de moi.
Je ne sais pas tout — mais je sais ça : j’aime la route, l’aventure, et le fou furieux qui ose partir sans savoir où il va.

Carnet de bord du voyageur galactique
Équipement : un vélo, un carnet, un stylo (perdu trois fois), et un esprit en turbulence créatrice.
Provisions : céréales, eau, curiosité infinie, post-it volatils.
Objectif : ne pas arriver. Juste être.

WAOUHHHHHHH.
Elle est pas belle la VIIIIIIIIE ?

Et toi, Robert… qu ’est-ce que la route te murmure aujourd’hui ?


Et toi, Robert, qu’est-ce que la route te murmure aujourd’hui ?

Alors… respirez, installez-vous, et répondez simplement :
« Eh bien… MUSIQUE ! »

Parce qu’il existe des gens qui vivent un peu trop fort, ressentent un peu trop vite, et voient toujours plus loin que la route. Chez eux, le moindre souffle , une feuille qui tombe, un rire qui s’attarde, un souvenir qui glisse  devient matière à transformer, à rêver, à réinventer.
Leurs fragilités ? On pourrait les imbriquer comme des accélérateurs d’âme.

Ce sont des êtres qui avancent avec un cœur en survoltage et un esprit créateur qui zigzague. Ils traversent le monde avec une poésie qui déborde, parfois maladroite, souvent lumineuse. Ils mélangent les programmes, confondent les directions, mais au moins sont entiers.

Alors ils ouvrent tout : les écoutilles, les freins, les limites. Ils libèrent leurs particules cosmiques, leurs vieux sages intérieurs, leurs tigres endormis, leurs astronautes en short fluo. Ils bifurquent en mode supernova. L’âge, peu importe. Chez eux, c’est toujours en Hyperpropulsion Poétique, Turbo-Émotionnelle, Existence Intergalactique en pleine lumière, et par dessus tout, alimenterai unTrouble Détourné pour Amélioration Humaine! voyez le programme.


Ils se sentent parfois comme des cyborgs improvisés, parfois comme des météorites sensibles qui refusent de rentrer dans les cases. Ils aiment trop. Ils aiment fort. Ils pourraient s’émouvoir devant une poêle abandonnée ou pleurer devant un caillou. Leur empathie déborde comme une marée imprévisible.

Et leur vélo ? pourquoi parle t on de vélo??? Pour eux, un vaisseau interdimensionnel, moitié X-Wing, moitié tapis volant. Quand ils pédalent, les chemins deviennent des couloirs quantiques, les arbres des danseuses galactiques, les cailloux des astéroïdes qui sourient.

Alors ça y est : on décolle. ON PART. Ensemble. Les systèmes se synchronisent :

Cerveau en roue libre, cœur en supernova, corps en quasar, esprit grand ouvert.
Le monde pixelise, les routes scintillent, les arbres deviennent des glyphes. Le réel lâche prise. On file. On arrache le mouvement. Plus de frontières entre le souffle et la lumière, entre la route et l’âme, entre l’élan et l’infini.


Les corps murmurent : « On y est. » Et l’univers répond : « ACCÈS AUTORISÉ. »

Ils traversent des nuages d’émotions, des comètes d’idées, des vortex de souvenirs. Ils pilotent et se laissent piloter, tout à la fois. 

La physique : suspendue. La poésie : moteur. La sensualité ? Une fleur posée sur la peau. Être à fleur de peau n’est pas être fragile : c’est être vivant. Ce sont des bénédictions déguisées en joyeux chaos. Ils dansent avec leurs défauts, embrassent leurs qualités, vivent à pleine vitesse avec humour, douceur et une pointe de folie.


Et s’ils ne trouvent rien ? Qu’importe. Le voyage est dans le souffle, le rire, le frisson, dans les bras ouverts et les routes inconnues. Chaque tour de roue est une page blanche. Chaque paysage, une nouvelle version d’eux-mêmes. Et sans tout comprendre, ils savent au moins cela : Ils aiment la route, l’aventure, et leurs élans imprévisibles.

Et toi, Robert…


Qu’est-ce que la route te murmure aujourd’hui ? Peut-être quelque chose qui te ressemblerait un peu.



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