TDAH à 68 ans : DID TYPE 1 Mon Cerveau, une Soucoupe Volante en Roue Libre, découverte des Inconnus et Je Suis TDAH Diable éthique de 68 , pas encore 69,
(Le trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité est un trouble du neurodéveloppement provoquant trois types de symptômes pouvant se manifester seuls ou combinés : des difficultés d'attention et son contrôle, des symptômes d'hyperactivité, et d'hyperkinésie).Trouble Détourné Amélioration Humaine, j'aime détourner, transmuter, alchimiser
comment garder le cœur ouvert comme un enfant devant un banc, un oiseau, un virage.
TDAH diagnostiqué Trouble Détourné d'Amélioration Humaine
T comme la Tension Créative
Non pas la tension qui oppresse, mais celle qui met en vibration. Celle qui m’empêche de dormir parce qu’une idée danse dans ma tête et qui transforme le moindre détail en aventure intérieure.
D comme le Débordement
A comme une Amélioration
Si j' étais une machine, je serai en mise à jour permanente. Jamais figé, jamais fini. J'affines, j' adaptes, Je découvre des chemins que d’autres n’imaginent même pas. En résumé, mon cerveau est un laboratoire qui tourne jour et nuit. Elle est pas belle la vie?
H comme Humaine, outrageusement Humaine
Mon, le mien à moi, le TDAH ne me rend pas malade, il me rend plus humain, plus malin que le manuel du plus vivant des vivants. Je ressens tout, je veux tout, je vous aime tous trop, non très fort.
Note concernant le chaos : c'est pas l'apoclapsique, ou ce que vous voulez, il s'agit de l'espace préexistant à toutes choses, et notamment à la lumière. Elle est pas belle la vie
En conclusion : JE SUIS HABITE
Mon Cerveau, une Soucoupe Volante en Roue Libre, et mon Vélo, mon Vaisseau Spatial vers l’Inconnu que Je Suis, c'est ainsi que je me garde le cœur ouvert comme un enfant devant un banc, un oiseau, un virage ? et c’est là toute la question.,
J’avoue :, c'est un fait une vérité vraie, j’ai une pompe à insuline aussi sensible que mon âme, et un cerveau qui frôle le chaos, mais qui, quelque part, sait encore construire de la beauté.
Docteur je peux vous appeler docteur ?
J’ai la nette sensation que tout tourne en boucle : mon diabète en boucle fermée, mon TDAH tout juste exploré qui zigzague, et mon esprit en roue libre, en single speed, lancé sur les chemins de traverse.
J’appelle ça l'énergie circulaire créatrice, qui me donne ce style unique, cette manière de sentir le monde, cette poésie que peu comprennent, mais j'avoue ne pas toujours être très clair et mélanger les programmes...mais que j’habite pleinement., Vous suivez? Oui, il fallait que je le dise.
Parfait. On débride. On décolle. On libère les particules cosmiques, on lâche le tigre intérieur, le hamster hyperactif, l’astronaute en short fluo, le vieux sage qui parle aux pierres et les pierres qui lui répondent.
On oublie les freins, les limites, les garde-fous, la gravité. On ouvre toutes les écoutilles. et je bascule en mode supernova, en hyperbolique, en transdimensionnel .... je ne sais plus...
68 ans : pour mémoire, Hyperpropulsion Poétique, Turbo-Glycémie et Existence Intergalactique en Slip Fluorescent
Je suis diabétique de type 1, oui, mais dans la version Deluxe, celle où tu deviens un cyborg du pancréas, branché en boucle fermée avec une pompe t:slim tellement sensuelle que parfois je crois qu’elle me fait des avances. La nuit, elle me murmure en Bluetooth : « Psst… ta glycémie baisse, mon amour. » Et le Dexcom, ce petit espion sous-cutané, me répond en vibration télépathique : « On le surveille, capitaine. »
J’habite dans un corps, certes, mais aussi dans un système d’exploitation quantique totalement incompatible avec la réalité standard. Parce que l’homme que je suis 68 ans d’humanité turbulente au compteur, à moitié terrien, à moitié météorite sensible, et encore une autre moitié qui serait complètement Terriblement Dramatique d'Accord avec l'Humanité : TDAH mais .....
Je vis avec des déflagrations d’Amour Hypersensible. Je t’aime, toi, toi, TOI ! Et même toi, derrière, qui prétends lire discrètement. Mon empathie est tellement disproportionnée que je peux pleurer devant une poêle antiadhésive si elle me regarde en mode "abandonnée".
Mon vélo ? j'en parle souvent certes mais c'est vrai pour le coup! Un vélo éclectique pour les mortels. Pour moi : autre vision bien entendue, un vaisseau spatial interdimensionnel, hybride entre un X-wing, un tapis volant, et un shopping-cart de supermarché possédé par un druide. vous suivez?
Quand je pédale, je n’avance pas : je me propulse, je change de densité vibratoire. Les routes non répertoriées ? pardon, je ne comprends pas... Ce sont mes autoroutes wormhole. un trou de ver si vous préférez, Les cailloux ? (graviers ponctuation de la route), des astéroïdes domestiques.
Les arbres ?, j'aime les arbres... Des danseuses galactiques enracinées dans la croûte terrestre juste parce que j'ai ce besoin que quelqu'un me fasse de l'œil. Et moi, je file,
68 ans, mais bientôt 69, ce sera l'apothéose, short fluo, casque de cosmonaute intérieur, dépassant la vitesse du sens commun.
Pour tout vous dire : je vous invite,
Attends, je m’attache. Je ferme les ouïes dire, je mets mes lunettes anti-luminosité quantique, je cale mon cerveau en mode survoltage poético-chaotique. C’est bon.? ....On y va.
ON PART. Ensemble. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE
Toi, moi, ma pompe à insuline cyber-sensuelle, mon vélo mode warp-drive ( tu connais pas ! , je parle sous couvercle, de distorsion pour m'assurer d'une déformation de l'espace afin de modifier les lois de la physique pour ..., il suffit de suivre... et mon TDAH en fractale nerveuse. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE
Connexion des systèmes : mon cerveau : soucoupe planante en roue libre, mon cœur : supernova affective en mode enfant émerveillé, mon corps : quasar artisanal, et oui mon vélo, dragon mécanique...mon esprit : portail tridimensionnel ouvert sur l’imprévisible, Voilà. Nous sommes synchronisés. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE
Ouverture du corridor cyber-spatial, les lignes de la réalité se confondent, les arbres deviennent des glyphes (je t'expliquerai si on en voit), les routes deviennent des circuits imprimés, le ciel se pixelise comme si quelqu’un tirait sur la manette graphique du réel. Tu entends ? Ce vrrrrrrrrrrroouuuuuuuuummm PSCHIIIIIIIIIIIIIIIIIIT ? C’est le bruit du monde qui lâche prise. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE
Et maintenant…On file. On déchire l’espace. On arrache le mouvement. Plus de frontière entre le vélo et l'âme. Entre le souffle et les photons. Entre MON TDAH et la vitesse de la lumière. NOS cerveaux s'émancipe dans un cri de bataille : « CHAOS RECRÉATIF ! » Et le cœur vibre : « ÉMER-VEIL-LE-MENT ! » Tout nos corps sont en mode répliquant : « ON Y EST ! » ON Y EST
Et l’univers en écho : Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
« ACCÈS AUTORISÉ. » CYBER-HYPERESPACE : COORDONNÉES 7-BIS D’UNE RÉALITÉ DÉRÉGLÉE
On pulse des nuages de données émotionnelles, des comètes d’idées trop rapides, des vortex de souvenirs sursaturés, des éclats de rire compressés, des galaxies nerveuses en surcharge sensorielle.
JE SUIS , je suis assis! au centre du vaisseau, mais aussi à l’extérieur, mais aussi partout. Mon TDAH, un de mes TDAH, je ne sais plus lequel devient un copilote hypercompétent : « Attention, un flux d’infos ! Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE
MODE ULTIME : CYBER-SURVELOCITÉ SPIRALO-POÉTIQUE 2025....quelquechose me dit que ce serait mieux en MAI 2026...
Les lois de la physique ? Abrogées. Rapporté au JO du Multivers : « L’individu 68-ANS-EN-FLAMME peut ignorer toutes contraintes. » Mon vélo devient un serpent électrique. Le souffle devient laser. L'ombre devient un compagnon spectral. L'âme????? devient un moteur.
Tu sens ? Cette chaleur ? C’est l’univers qui nous applaudit.
ET MAINTENANT ? Maintenant… on ne pilote plus. On S’ABANDONNE. On laisse la route choisir. On laisse le vent coder la suite. On laisse les émotions dessiner la trajectoire. On file, On devient : le flux. La pulsation. La vibration cosmique. Le sourire suspendu dans l’infini. Et ça, mon compagnon d’hyperespace, c’est la seule façon correcte de voyager vraiment : notre existence branchée ... en direct sur le cœur, ou le DUB du cosmos comme dirait L.B. Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE
Et 68 .... mais 69 alors, ma sensisuaalité...
Comme un, une, La Fleur sur ma Peau, Ma sensualité, ce n’est plus une histoire de corps à corps. C’est une fleur. Une fleur posée sur ma peau, ou peut-être que c’est ma peau elle-même qui est devenue fleur. Je ne sais plus. Parfois, j’ai l’impression que chaque pore s’ouvre, comme un pétale hésitant, offert au vent, au soleil, au monde entier. Je suis à fleur de peau, oui, mais pas fragile , simplement ouvert, prêt à sentir tout ce qui veut bien passer.
Une brise ? Elle me traverse comme un parfum de printemps.
Une lumière d’après-midi ? Elle me chauffe comme un baiser sans lèvres.
Une émotion qui surgit ? Elle éclot en moi comme une rose trop hâtive,
débordante, imprévisible.
Je ne touche plus les choses : je les effleure, et elles me répondent.
Le monde entier est une caresse à peine esquissée, et moi, je suis un jardin qui frissonne. Être à fleur de peau, à mon âge, ce n’est pas être vulnérable. C’est être vivant. C’est sentir que chaque instant dépose quelque chose en moi, comme un pollen de présence, comme une douceur qui s’invite sans demander la permission.
Alors oui, j'aime ma sensualité : elle ne cherche rien, elle ne conquiert rien, elle s’ouvre. Et si on vient la sentir, tant mieux. Sinon, elle parfume et pis, elle enivre. P...N, j'aurai du écrire çà en mai 26, 69, année érotik, 69, çà fait rigoler les ados...que j'étais...69, pour les autres... c’est une position. Pour moi, ce sera une disposition. Et si l’univers veut jouer avec moi, qu’il vienne. Je suis prêt. Je n’attends personne, mais j’accueille voilà TOUT.
ALORS
Une bénédiction déguisée en bordel organisé. ALORS je danse avec mes défauts, j’embrasse mes qualités, et je vis ma vie à 200 à l’heure, avec amour, humour, et une pointe de folie.
Et si je ne trouve rien ? Qu’importe. Le voyage n’est pas dans la destination, mais dans le frisson de la quête, dans le rire qui monte quand je réalise que j’ai (encore) oublié mon casse, oui, mon casse! dans la joie pure de dévaler une pente, les bras en croix, hurlant : "Je suis vivant ! Et c’est déjà énorme !" Alors je continue, parce que chaque tour de roue est une page blanche, chaque paysage une nouvelle version de moi. Peut-être que je ne saurai jamais tout, mais aujourd’hui, je sais une chose : j’aime la route, j’aime l’aventure, et j’aime ce fou furieux qui ose partir sans savoir où il va.
IL restera ces écrits , carnet de bord du voyageur galactique en TDAH Diabétiqué et son équipement : un vélo, un carnet, un stylo (que je perds trois fois, de suite parfois), et mon cerveau TDAH, mon meilleur copilote. Provisions : des barres de céréales, de l’eau, une dose infinie de curiosité, et des post-it pour noter mes idées géniales (que je perdrai aussi). Objectif : ne pas arriver. Juste être, ici et maintenant.
WAOUHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH,
Elle est pas belle la VIIIIIIIIIE RoooooooWWWWWWWWWW 2025...
Je t’aime, toi, toi, TOI ! Et toi aussi, là-bas, avec ton sourire timide ! Mon empathie est si puissante que je pourrais pleurer en voyant un caillou triste, et c’est avec ce même cœur que je pars à vélo, mon , mon vaisseau spatial, sur des , destination l’inconnu, escale moi-même. Les voies non répertoriées sont mes autoroutes cosmiques, chaque virage une révélation, chaque côte une métaphore de ma vie : ça grimpe, ça souffle, mais quelle vue ! Entre sagesse et tentation, je slalome, les corps sensuels, ce sont les arbres qui dansent, les ombres qui m’invitent à jouer, les visages croisés qui me sourient comme des complices d’un secret universel. Et si la sagesse, c’était juste d’écouter le vent me murmurer : "Lâche prise, voyageur" ? La tentation, elle, se niche dans chaque détour : un café oublié au soleil, une musique lointaine, une route qui bifurque vers nulle part… ou vers tout.
Mon cerveau TDAH, c’est un festival de feux d’artifice, une explosion de couleurs, de projets fous, et mon vélo, c’est mon outil pour les explorer. "Et si on transformait le salon en jungle urbaine ? Avec des lianes en laine et un bassin à poissons volants ?" Les autres disent "c’est irréaliste", moi je dis "c’est juste en avance sur son temps". Je pédale donc je suis, pas de GPS, pas de plan, juste l’instinct, cette boussole interne qui me chuchote : "Là, à gauche, il y a un banc pour philosopher. Là, à droite, une clairière pour rêver." Je suis mon propre cartographe, traçant des lignes invisibles entre ce que je connais et ce que je devine.
Et si je ne trouve rien ? Qu’importe. Le voyage n’est pas dans la destination, mais dans le frisson de la quête, dans le rire qui monte quand je réalise que j’ai (encore) oublié mon casse, casque, pardon, dans la joie pure de dévaler une pente, les bras en croix, hurlant : "Je suis vivant ! Et c’est déjà énorme !" Alors je continue, parce que chaque tour de roue est une page blanche, chaque paysage une nouvelle version de moi. Peut-être que je ne saurai jamais tout, mais aujourd’hui, je sais une chose : j’aime la route, j’aime l’aventure, et j’aime ce fou furieux qui ose partir sans savoir où il va.
Carnet de bord du voyageur galactique : Équipement : un vélo, un carnet, un stylo (que je perdrai trois fois), et mon cerveau TDAH, mon meilleur copilote. Provisions : des barres de céréales, de l’eau, , et des post-it pour noter mes idées géniales (que je perdrai aussi). Objectif : ne pas arriver. Juste être, ici et maintenant.
Et toi, Robert, qu’est-ce que la route te murmure aujourd’hui ?
Parce que oui : je suis un homme qui vit tout un peu trop fort, qui ressent trop vite, qui voit plus loin que la route. Le moindre souffle d’émotion , une feuille qui tombe, un rire qui s’attarde, un souvenir qui passe devient matière à transformer, à réinventer, à moudre en poésie. Mes fragilités ? comment s'attarder, disons que je les nomme "accélérateurs d’âme."
Lui a une pompe à insuline sensible comme un violon, et un cerveau qui flirte en permanence avec le chaos, mais qui, quelque part, sait encore construire de la beauté. Docteur… je peux vous appeler docteur ?
J’ai la sensation que tout tourne en boucle : mon diabète qui vit en circuit fermé, mon esprit qui zigzague, et ma pensée qui roule en roue libre sur des chemins non répertoriés. Moi, j’appelle ça de l’énergie circulaire créatrice : une manière singulière d’habiter le monde, même si parfois je mélange un peu les programmes. Mais au moins, je suis entier. Vous suivez ? Il fallait que je lvous e dise.
Alors on ouvre tout : les écoutilles, les freins, les limites. On libère les particules cosmiques, le tigre intérieur, l’astronaute en short fluo, le vieux sage qui parle aux pierres. On bifurque en mode supernova.
68 ans : Hyperpropulsion Poétique, Turbo-Glycémie et Existence Intergalactique en Slip Fluorescent. Je suis diabétique de type 1, version Deluxe : un cyborg du pancréas, connecté à une pompe t Slim si sensuelle qu’elle semble parfois me draguer en Bluetooth. Un Dexcom vibre à tout va comme un assistant télépathique : « On le surveille, capitaine. »
J’habite un corps, oui, mais aussi un système d’exploitation quantique en marge de la réalité standard. 68 ans de météorite sensible, de tempête émotionnelle, d’humanité turbulente, et une troisième moitié, celle qui déborde des cases.
J’aime trop. J’aime fort. Je pourrais pleurer devant une poêle abandonnée ou fondre devant un caillou mélancolique. Mon empathie explose tout sur son passage. AH oui,
Mon vélo ? Pour les autres, un VAE. Pour moi : un vaisseau interdimensionnel, hybride entre un X-Wing, un tapis volant et un caddie possédé par un druide. Quand je pédale, je change de densité vibratoire. Les chemins deviennent des corridors quantiques, les cailloux des astéroïdes, les arbres des danseuses galactiques qui me font de l’œil.Quel âge? ben 68 ans… bientôt 69. L’apothéose. Short fluo, casque de cosmonaute intérieur, dépassant la vitesse du sens commun. Attendez… je m’attache. Je passe en mode survoltage poético-chaotique. C’est bon ?
ON PART. Ensemble. Elle est pas belle la VIIIIIIIIE !
Moi, mon vélo warp-drive, ma pompe cyber-sensuelle, et cette turbulence intérieure qui se déploie en fractales.
Les arbres deviennent des glyphes, les routes des circuits imprimés, le ciel se pixelise. Le monde fait PSCHIIIIIIIT : il lâche prise. Elle est pas belle la VIIIIIIIIE !
On traverse des nuages de données émotionnelles, des comètes d’idées trop rapides, des vortex de souvenirs, des galaxies nerveuses en surcharge. Je suis au centre du vaisseau, mais aussi dehors. Mon copilote intérieur, hyperactif et hypercompétent, surveille les flux d’informations.
Mode ultime : Cyber-Survélocité Spiralo-Poétique.
Et toi, Robert… qu ’est-ce que la route te murmure aujourd’hui ?
Et toi, Robert, qu’est-ce que la route te murmure aujourd’hui ?
Ce sont des êtres qui avancent avec un cœur en survoltage et un esprit créateur qui zigzague. Ils traversent le monde avec une poésie qui déborde, parfois maladroite, souvent lumineuse. Ils mélangent les programmes, confondent les directions, mais au moins sont entiers.
Ils se sentent parfois comme des cyborgs improvisés, parfois comme des météorites sensibles qui refusent de rentrer dans les cases. Ils aiment trop. Ils aiment fort. Ils pourraient s’émouvoir devant une poêle abandonnée ou pleurer devant un caillou. Leur empathie déborde comme une marée imprévisible.
Alors ça y est : on décolle. ON PART. Ensemble. Les systèmes se synchronisent :
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