Un jardin --- Qui est au jardin ? Qui fait le jardin ?
Au verger : sont rangés pommiers, cerisiers pas en bonne santé, pêchers attention cloque en stock, poiriers et figuiers, reste… un noisetier sur une parcelle jardinée où a poussé de l’épeautre et bien d’hôtes …
l’enclos aux poules de mai
2017 près du château…d’Ô : de la vigne, vierge, caresse
le mur, du l’hier de Pedro au pied du GinkYo (c’est un mâle, ???
les deux érables de Bugangue, noisetiers, une stèle quantique pour la génération future, bouleau de l’Himne à la y a, ben voyons !, un frêne sauvé des pots contre un cèdre du Liban ou de l’Atlas, je doute encor'’, une cépée érable rescapé des trottoirs du Leclerc, baigné par les orangers du Mexique et un viburnum Watanabe.
J'oubliais la liaison tilleul, chêne du jardin d’ailleurs et ginkgo. Très un portant,
Une Pierre plantée fait un lien… secret …chuteeeeeeeeeee.
Le « parc » là c’est les tournois de badmington, course à pied et autres frénésies à deux roues ou sans : le chêne déjà cité, (du jardin d’ailleurs !), un lavoir abri des hérissons (attention aux bacs) et son murier, l’althéa, l’abélia, les papis russes et les zortis, colonnes palmiers, frênes à branches,
un bassin cloac à algues (toujours laisser un bois dedans pour les « rescapés » qui peuvent tomber), le Sureau, le Saule osier discret, un feijoa qui se cherche, un savonnier, cerisier malingre, une resplendissante Allées de Bananiers, au bout un cognassier du japon (vit. C), …
et par ci par là montbretias dans les galets sortis du potager
La souche de notre noyer abrite un être très étrange que seul le plus chanceux rencontre…
Nandinas fusains, bouée de bananiers exubérants, liquid’ambar panaché caché, cannes de Provence bariolée, néflier, lilas, vigne vierge, cornou liés de sang et levés de soleil … citerne à eau végétal, lissé, et là, stock en stock du bois d’êtres et d’hiver …
Sortie de la Grande grange, ou Entrée de Jardin : grimpe sur l’arbri outils, vigne vierge ??? et akeba discret, coincé, entrée le béton cerisier, aromates, tomates de saison, sais plus, fusain pyramide P2 et lilas microphylla, compost et maison souris, petit buis … base cœur de les lectros cultures !!!
Au potager, endroit où traversent les Gumes certains sédentaires, … pommiers, poiriers, pêchers, prunier, juniperus Gaïa jetem, allée artichauts – rosiers- fleurs en vrac et de bric and the broc, Au fond, pour le plaisir des voisins (ils aiment le jardin), coto lactea, troêne tortueux, escallonia, noisetiers qui n’attendent que ça, spirée van houtten mais blanc, nandina du cru, camelia, eleagnus ebbengii, envoutant, hortensia à feuilles de chênes, fusains, dorés, saule pleureur tortueux, orangers du Mexique envahis de topipitambours contre des lauriers palme en haie barrière qui pourraient monter plus haut ,
un murier platane qui monte trop, laurier sauce et buis boule, 3 pierres magic !, arbre de Judée de pise en pise ...
une cuisinière espagnole, un bac pour les cochons (co’pins d’avant), si terne à eau, divers …
Le patio, cour : un portail, un savonnier, cytise, érable du Japon importé doré, hortensia grimpant sur le mur avec en concours une glycine, un lilas blanc, au pied, hellexine sans suaire, muguet, roches trémière, bambous nains, escargots et oiseaux, viburnums à cent heures d’enfance, puis en pots, daphnée de février,
hum le parfum, avec un chèvrefeuille, olivier potager, jasmin pour les chambres, vignes et raisins d’escale hard…
… et j’ai omis Angélique bonbon, rose trémière vagabonde, géranium herbe à Robert, chélidoine, blés et coquelicots, zinnias, tournesols, bourraches et œillets, et nos gardiennes du temps.
Poireaux, salades et persils, autres folies, perdus dans les failles de la BaieTong, pierres aimés et bois placés, reliques et objets disparus qui ont trouvé une place, s’en vont s’en viennent, chants d’oiseaux, baves de limaces, crottes de chouettes de chauves qui sourient, de hérissons vagabonds et parfois … on peut aussi rencontrer… ?Et les gens ???
Eh oui, leurs regards restent là, enfants, parents, famille, amis, d’ici et toussent ceux qui ont traversé les allées, leurs joies, leurs confits denses, leurs cris emplissent la cime des artsbres, la joie pénètrent chaque couleur, un souffle d’air chute et les pleurs se taisent discrets.
Leur Jardin,
C’est ainsi que je le bois, Lui qui m’a ac-compagné (donner le pain) lorsque j’avais le besoin d’aimer.
Merci pour ce part d’âge.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire